Une véritable OMERTA
Il est de bon ton de parler d'omerta avec la Commission Charbonneau en cours. C'est la même chose en ce qui concerne la borréliose (ou maladie de Lyme) dont l'ampleur est sous-estimée par le milieu médical québécois.
Comme ''Blog'' j'ai essayé depuis plusieurs années, d'écrire plusieurs articles sur le sujet, afin que les chasseurs soient le plus informés possible sur cette maladie. Cette maladie est surtout très mal diagnostiquée.
La maladie de Lyme
La prolifération de ces acariens est constante. Perchée dans les arbres et/ou sur les hautes herbes, les tiques peuvent attendre plusieurs semaines avant de s'en prendre à une victime. Elles sucent le sang grâce à une sorte de harpon (rostre) qu'elles enfoncent dans la peau. Une telle piqûre ne porte pas à conséquence, à moins que la tique ne soit infecté par un germe, responsable chez L'homme d'une affection: la maladie de Lyme.
Une antibiothérapie de quelques semaines suffit à enrayer cette infection. Non traitée la Borrélia se répand dans l'organisme et amène des problèmes de vision et des douleurs articulaires. La maladie de Lyme ne cesse de gagner du terrain. IL semble donc urgent d'apprendre à mieux connaître la borréliose pour pouvoir la soigner et freiner sa progression.
Il n'existe en ce moment aucun test sanguin fiable pour établir un diagnostic. Les médecins québécois mal renseignés, passent souvent à côté du diagnostic et l'infection n'est nullement traitée. Pire encore, comme les symptômes ressemblent à d'autres maladies, le patient est référé vers des traitements inappropriés.
C'était l'opinion du bloggeur en ce 2 juin 2014.
André Nanook Simard
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