7 déc. 2017

Comment va coûter le régistre québéçois

L'appareil québéçois attend impatiemment la naissance, d’un autre appareil dépassant les coûts, comme le Pont Champlain, un registre des armes à feu flambant neuf!

 
Rappelons que le registre des armes à feu, c’était la mère de tous les échecs dans la capitale nationale du Canada (Ottawa). 

CONTRÔLE DES COÛTS


«L’important c’est de bien contrôler les coûts de la mise en place, qui sont actuellement évalués entre 15 et 20 millions de dollars», a indiqué définivement Monsieur Couillard. Par la suite, le coût annuel d’opération du registre devrait être approximativement plus bas. Dans une province, où il y a de la collusion et de la corruption, sans doute que le budget de départ (de 15 à 20 millions) n'est absolument pas respecté. Couillard avait de petits yeux quand il a fait cette promesse.



Ce qui devrait nous causer un intérêt ou susciter une attention particulière dans le public, c’est que le gouvernement  libéral (fort de sa majorité) choisisse d’aller de l’avant, sans véritable étude sur la  pertinence d’un tel registre des armes à feu. C'est en pleine période, où un monstrueux bordel informatique règne. Vous avez certainement remarqué qu'il est très rare, qu'on croise une vache avec un tablier, un poisson avec une bicyclette et un lapin avec un téléphone mobile. C'est le cas du contribuable qui n'a pas le choix. Les enfants du contribuable-chasseur devront payer toute leur vie pour le registre des armes à feu.



Un octueux(en faisant preuve d'une douceur  hypocrite) contrat pour les consultants en informatique, qui se bousculeront aux portes pour s’approprier le juteux contrat.

 L’expérience fédérale?

En 1995, le gouvernement fédéral de Jean Chrétien, avait estimé le coût à 2 millions. Une enquête de Radio-Canada avait révélé que 10 ans plus tard, le défunt registre fédéral coûtait 2 milliards.

Le gouvernement Couillard confie l’organisation du registre à celui qui émet les certificats de naissance, soit le directeur de l’État civil. Mais quelle est sa compétence en la matière ?  Et qui garantira la protection des données personnelles?

Au Québec, on semble encore incapable, d’avoir un débat rationnel sur les armes à feu. C'est le fusil ou le malade mental qui tire sur la gâchette ?

C'était l'opinion du blogueur en ce 7 décembre 2017.

André Nanook Simard

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